Fort d'une équipe de cuisine encore plus performante qu'avant, le chef Dimitri de Koninck se rend plus facilement en salle pour expliquer ses suggestions. Il le fait avec enthousiasme, ce qui enrichit naturellement l'expérience. Comme avec le thon issu de la pêche durable, qu'il sert en tataki et qu'il rehausse notamment de furikake, salade de concombre avec salicorne et feuille d'huître, crème de ponzu, crème de raifort, salade de shiso et kataifi pour l'effet croquant. En outre, la vinaigrette de yakiniku faite maison vient encore renforcer l'effet gustatif. Double dessert original avec, d'un côté, un gâteau au chocolat blanc et ras el hanout, mousse à l'orange sanguine et au chocolat blanc et, servis à part, une panna cotta et un granité à l'orange sanguine avec leur crumble de chocolat blanc. Il est important de souligner que la carte des vins et le service ont nettement progressé. Une expérience totale très convaincante qui justifie une note plus élevée.