La cuisine de Guy Dresen ne s'embarrasse pas d'une complexité inutile pour plaire. Le respect du produit est le fil conducteur. L'harmonie aussi, tant au niveau des saveurs que de la présentation des assiettes. Nous commençons par une combinaison réussie de thon au radis, ponzu et ramonasse. Le plat principal - un agneau juteux et de belle tendreté servi avec boulgour, aubergine et piquillo - fait mouche aussi. Julie Sneyaert veille au grain tout en prodiguant de bons conseils. L’ambiance y est détendue et cordiale.